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le festival le 11

Spectacles

Final Cut

Myriam Saduis

02/07 21/07

Prochaine représentation : Mardi 02 juillet 2024 à 22h - salle 3

Final Cut est un récit autobiographique où s’entremêlent l’histoire coloniale de la Tunisie et la chronique d’une folie familiale. Millimétré comme un rapport médical, tragique et comique, ce monologue-en-duo pourrait être le viatique de toute une génération : va, enquête et deviens. Prêt·e·s ?

Dans la presse

"On est happé et touché par les multiples visages de Myriam Saduis, d’abord enfant, femme, mère à son tour, témoin et pédagogue.(...) Myriam Saduis. Un nom qu’on n’est pas près d’oublier." L'Humanité

 

"L’actrice trace le portrait d’une France hantée jusqu’à l’abjection par ses élans colonialistes. Si la résilience a un nom, c’est celui de Myriam Saduis." Télérama

 

"C'est un spectacle sur la force vitale, la recherche des racines. D'une rare délicatesse." Le Canard enchaîné

 

"Partant du plus intime, Myriam Saduis tisse avec une constante justesse de ton un spectacle bouleversant sur la manière dont l’histoire, en l’occurrence celle de la colonisation, peut briser la raison des individus" Le Monde

 

"Une recherche de la vérité non dénuée d’humour et surtout bouleversante." Le Figaro

 

"La force étonnante de Final Cut naît de cette quête à la fois contrariée et obstinée d'une enfant." La Vie

 

"Folie que celle de ces jeux troubles de double creusant le doute et la folie. [...] Tout le spectacle est ainsi construit, monté peut on dire, passant de l’intime à l’historique, de la quête à l’introspection, de la confession personnelle à la construction théâtrale. [...] Chaque ouverture de tiroir est une flèche acérée." Le Club de Mediapart

 

"La comédienne ne se laisse pas distraire: question de vie ou de mort, cette quête identitaire l’habite tout entière et nous entraîne avec elle jusqu’au dernier soupir d’un récit à la fois documentaire et bouleversant, dont elle finira par conquérir le « final cut ». Un émerveillement." L'Echo

 

"Une petite merveille." Orient XXI, La Lettre

 

"Final Cut nʼest pas un témoignage, cʼest une poétique de résilience et dʼémancipation." Jeune Afrique

 

"Comme l’indique le titre, après avoir tant subi, c’est elle qui prend la main, qui énonce et structure le récit, et elle le fait avec un talent sûr, avec une vitalité impressionnante, avec un humour mordant [...] Elle agence les fragments éparpillés pour construire un bel édifice, fragile et solide à la fois." La Terrasse

 

"Dans le noir, rallumer la lumière. Dès [les] premiers mots prononcés par Myriam Saduis, assise derrière un bureau tout simple, on sent que la parole est pour elle une conquête. [...] Son exploration est devenue au fil des années un passionnant récit-fleuve. [...]." Politis

 

"Difficile de mesurer le travail entrepris par Myriam Saduis pour mettre à distance sa douleur et s’élever au-dessus du malheur. Il ne s’agit pas de résilience, terme trop galvaudé, mais de prise de conscience." Le monde libertaire

 

"Le théâtre, lieu de la parole articulée, installe alors gravement une thérapeutique d'âme où passe le souffle de celui qu'on a voulu effacer." L'Humanité 

 

"Elle sait trop que le théâtre est question de collectif et que, pour donner plus de force à cette histoire si intime et bouleversante, il faut être parfait. [...] La construction du texte est remarquable, comme l’est l’interprète, avec son timbre aux moirures fermes." Le Journal d'Armelle Heliot

 

"Final Cut de Myriam Saduis n’est pas un simple récit de vie, c’est un regard juste et distancié, intelligent et bouleversant sur un pan de l’Histoire de la Tunisie et de la France, une période de l’Histoire qui a façonné les territoires aussi bien géopolitique que personnel et émotionnel." La Presse

 

"Le récit de Myriam Saduis commence par l’annonce d’une « fugue » de sa mère avant qu’elle ne soit retrouvée, enfermée et qu’elle ne meure. Alors seulement sans doute Myriam Saduis, l’enfant née d’une transgression, peut-elle commencer son récit jusqu’à son achèvement." Frictions

 

"L'émouvant Final Cut de Myriam Saduis tresse ensemble l'histoire politique et l'histoire personnelle. [...] Dépourvu de sentimentalisme, le récit s'entrecroise brillamment aux références littéraires. Dans la salle, l'émotion volait haut." Financial Times
 

"Si Myriam Saduis a la démarche légère, aérienne, on ne peut pas dire qu’elle danse. [...] Elle fait valser sa mémoire et ses sentiments. Sur un fil, conservant sa force de joie jusque dans les passages les plus sombres de sa traversée, elle réussit à transmettre non seulement une mémoire complexe, mais aussi toute la lutte, tout le travail qu’a nécessité l’écriture du spectacle. Tout le temps et la peine qui font sa valeur, sa beauté." Sceneweb

 

"De rage et de tendresse : Final Cut se présente à la fois comme une réflexion englobant les remous du XXème siècle, les questions de la construction identitaire, du métissage et de la décolonisation, et comme un thriller plein de rebon- dissements." La Libre Belgique

 

"Les plaies du passé colonial français refont surface à Avignon." Agence France Presse
 

"Au-delà du travail sur soi, c’est une troublante et poignante œuvre d’art que développe Myriam Saduis avec une distanciation étonnante, un humour improbable, des mises en abyme tchékhoviennes et des balises historiques et littéraires fascinantes." Le Soir

 

"Un grand moment de théâtre. [...] Au total une confession lucide, sans exhibitionnisme, sur une douleur lentement maîtrisée, une réflexion toujours actuelle sur le racisme ordinaire et un art, impressionnant, du récit et de la présence scénique. Chapeau !" RTBF
(19 novembre 2018)

 

"Myriam Saduis se dévoile littéralement dans ce spectacle où elle fait montre de ses talents d’auteure (on le savait déjà), de comédienne et, plus surprenant, de chanteuse." Demandez le programme

 

"Avec aisance, humour, maîtrise du geste dans l’espace, la comédienne amène le spectateur, captivé, jusqu’à la révélation ultime." M La Scène
 

"La pièce dessine, scène par scène, comme des calques que l’on superpose, des cartographies de territoires, géopolitiques, sociaux et personnels. [...] Un récit raconté et joué par une comédienne et metteuse en scène puissante, forte et fragile, rejointe dans la seconde partie par le comédien Pierre Verplancken." Axelle Magazine

Distribution

Conception et écriture Myriam Saduis
Collaboration à la mise en scène Isabelle Pousseur
Avec Myriam Saduis et Pierre Verplancken en alternance avec Olivier Ythier
Conseillers artistiques Magali Pinglaut et Jean-Baptiste Delcourt
Création lumière Nicolas Marty
Création vidéo Joachim Thôme
Création sonore Jean-Luc Plouvier (avec des extraits musicaux de Michel Legrand, Mick Jagger / Keith Richards, Amir ElSaffar)

Ingénieur du son et régisseur vidéo Celia Naver ou Anatole Gibault
Régie lumière et direction technique Nathanaël Docquier
Mouvement Nancy Naous
Création des costumes Leila Boukhalfa
Collaboration à la dramaturgie Valérie Battaglia
Construction Virginie Strub
Maquillage et coiffure Katja Piepenstock

Diffusion Agnieszka Zgieb pour la Cie Défilé, (email+33 6 08 28 83 76)

Production

Production Théâtre Océan Nord et Cie Défilé
Coproduction la Coop asbl, FWB CAPT Service du Théâtre
Soutiens Fédération Wallonie-Bruxelles, Shelterprod, ING,
Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge Taxshelter.be, COCOF
Final Cut a été créé en novembre 2018, dans le cadre du Festival Mouvements d’identité au Théâtre Océan Nord à Bruxelles (direction Isabelle Pousseur).

 

Final Cut a été récompensé deux fois aux Prix Maeterlinck 2019 (prix belges de la critique) en tant que « meilleur spectacle » et dans la catégorie « meilleure actrice ». 

 

SceneWeb, Palmarès de la décennie : en décembre 2020, Final Cut est nommé à la cinquième place au Palmarès de la décennie du site Sceneweb.fr, section théâtre.

Infos pratiques

2 - 21 JUILLET à 22h
Relâches les lundis
8 & 15 juillet 

 

Salle 3
 

Durée • 1h30

À partir de 13 ans


Tarif plein 22 €
Tarif réduit 15 €
Tarif - 15 ans 10 €

En savoir plus

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